San Fedele d’Albenga
En 1903, les lois françaises obligent les sœurs qui enseignaient à Saint-Tropez à franchir la frontière. Elles arrivèrent à San Fedele d’Albenga. Depuis, les sœurs sont toujours présentes dans le lieu qui les a accueillies. Pendant 76 ans, elles ont enseigné dans ce qui, peu à peu, est devenu un grand collège qui accueillait des jeunes de toutes les régions d’Italie. Parmi ces jeunes quelques unes se sont jointes à elles en choisissant la vie religieuse et depuis ce lieu sont parties pour fonder d’autres maisons en diverses régions d’Italie.
A regret en 1989, elles ont dû cesser l’activité de cette fondation pourtant importante pour la formation des jeunes.
Aujourd’hui, quatre sœurs vivent toujours dans la petite maison San Marco au bas de la colline. Elles gardent une présence très forte avec les gens qui les entourent et les anciennes élèves.
Loreto
Pour les Ursulines de Jésus, qui ont vocation d’adoratrices dans l’Eglise, Loreto est un lieu privilégié par la présence de la « Santa Casa. » Comment refuser la forte invitation à la contemplation du mystère du Verbe Incarné dans ce lieu où s’est réalisé l’annonciation du Seigneur ?
Fondée en 1930 pour accueillir les pélerins, cette maison, à diverses reprises, a changé d’activité : école puis accueil des orphelines de la Finance et enfin plus récemment accueil des pélerins et surtout des familles.
Aujourd’hui, la communauté est formée de six sœurs qui sont presque toutes des aînées.
aller voir A Loreto, avec la Fraternité de l’Annonciation
Rivalta
Tout près de Turin, Annalisa, Maria Agnese et Giuseppa se donnent pleinement aux personnes toutes simples qui les entourent pour lesquelles leur communauté est toujours ouverte. Elles habitent une maison paroissiale.
L’animation liturgique, la catéchèse, la participation aux groupes caritatifs paroissiaux, l’entretien des locaux et de l’église, remplissent leurs journées.
Torino
A l’ombre de la « Consolata », sanctuaire au cœur de la ville de Turin, vivent trois sœurs, Maria Paola, Amelia et Adelina. Bien souvent, elles rejoignent les communautés voisines pour l’animation et le soutien fraternel. Elles sont ouvertes à la réalité du quartier et l’une d’elles collabore avec d’autres religieuses de la paroisse, à des activités en faveur des personnes âgées et isolées.